Mes potes sont cons parfois. Enfin, égoïstes serait un mot plus approprié. Par exemple, pour eux, dévoiler un secret vraiment bien gardé, ce n'est rien, juste une blague entre amis, un "dossier", comme il l'appelle, dévoilé au reste du monde, comme sur tête de livre.
Par exemple, lorsqu'ils s'engagent gentillement, sans que je leur demande, de me raccompagner chez moi (parce que notre quartier pu la merde et est rempli de : putes, racailles, clodo en tous genres, pervers, etc); et bien, une fois arriver à l'entrée de notre quartier, alors qu'ils ont encore une heure et demi à glander avant de rentrer chez eux, et que parce qu'ils m'avaient promis de me raccompagner, j'ai accepter de ne pas prendre le metro alors que je dors 3 heures par nuit en ce moment, donc je suis un peu crevée tu vois; et bien ils refusent. Donc je me retrouve à avoir fait pleins d'éfforts pour eux dans la soirée, pour qu'au final ils ne puissent pas tenir une promesses. Surtout qu'il y a une différence entre moi qui leur rend le service de leur filer une cigarettes et eux qui me rendent le service de me raccompagner au moins jusqu'à ma rue, parce que quand je rentre seule, je me fais accoster par des racailles ou clodo en tous genres approximativement tous les 10 mètres.
BREF c'était le moment coup de gueule. Parce que mes potes je les adores tu vois (et encore je suis plus très sur, c'est vraiment des putes des fois vous savez).
"I'm fuckin' wit' you girl"
SINON, A PAR CA:
L'Homme-de-la-rue-d'à-côté (mon cher et tendre depuis trois ans, trois mois et vingt-trois jours) est cloitré chez lui, avec trente-huit et demi de fièvre. J'essaye de lui apporter mon soutien parce que c'est pas très drôle une infection urinaire, surtout chez les hommes, et d'aller le voir dès que je peux.
Et l'Homme-de-la-rue-d'à-côté, il faudrait que je vous explique tout de même le pourquoi du comment, non?
Je vais faire le plus court possible, parce qu'en trois ans et quelques, il s'en est passé.
Après plusieurs péripéties de sa part dont j'évite de parler maintenant (oui quelque part ça me rend toujours triste, les histoires d'amour qui finissent mal), nous sommes maintenant dans ce que l'on peut appellé une relation libre. J'ai fais le dure choix d'attendre quand il serait prêt pour qu'on ai de nouveau une relation stable. Et croyez-moi ça n'est pas facile tous les jours, heureusement que maintenant ça va mieux, quand même. Et puis, j'ai mes défauts aussi, je le reconnais. Je ne suis pas la fille la plus facile à vivre qu'on puisse trouver.
Nous avons tous les deux nos défauts, et nos qualités, que je prefère d'ailleurs (logique vous allez me dire). Et il en a tellement, et des tellements plaisantes, je vous assure. Il fait tellement d'efforts. Et je me rends compte que j'étais tellement habitué à ce qu'il n'en fasse plus pendant un certain temps, que je n'y ai pas fait attention tout de suite. Mais, maintenant, c'est tellement bon de voir tout ça. C'est tellement... je ne trouve pas de mot. Je ne vous en trouverais pas non plus qui décrive ce que je ressens pour lui. L'Amour, avec cette majuscule, vous savez.
Là il raid sur WOW (oui bon ça va. Moi aussi j'aimais pas à la base, et j'ai mis du temps, mon dieu, du temps, pour accepter ce jeu, je vous assure =p). Il m'apprends de temps en temps, à jouer à WOW, ou à CS. D'ailleurs dans CS, c'est comme quand il pète au lit, on enlève nos masques de couple parfait tout propre sur eux (ouai non on est pas comme ça hein quand même), et on se lâche. Deux amoureux, ensemble, devant un pc, en train de hurler "Espèce d'enculé de ta race j'vais te niquer ta mère tu vas rien comprendre sale naab putain ! Tiens j't'ai pouned !! Mouahahahah". Voilà, c'est nous.
Là, je viens de lui faire une déclaration d'amour. Ca faisait longtemps que je ne lui avais pas fait une déclaration comme celle-là.
Get off this situation and feel fine